Thibault m’a demandé il y a quelques mois des conseils pour fabriquer un jeu de quiz de type Questions pour un champion. L’objectif est de fournir un système de buzzers à des équipes, capable de détecter lequel a été actionné en premier :
Je me suis pris au jeu (…) à tel point que la tâche donner quelques conseils s’est petit à petit transformée en tout refaire de A à Z. Je vais maintenant décrire ce projet et ses évolutions, architecturé autour d’ESP8266, d’ESP32 puis de Raspberry Pi.
Depuis un an et demi, avec mon père nous rénovons de A à Z la maison de ma sœur. Bon, pas tout à fait car j’ai pris quelques mois de vacances au milieu, mais peu importe. Petit résumé des travaux :
peinture complète (classique…)
parquet flottant à l’étage
électricité : refaire les tableaux en ré-identifiant les circuits et tirer des fils de terre là où elle est absente
carrelage, plomberie, placo, isolation : casser puis reconstruire la salle de bains et les toilettes
cuisine : créer de nouveaux espaces en récupérant de la surface dans le garage et installer la nouvelle
système domotique pour réguler le chauffage des convecteurs électriques (entre autres)
et plein d’autres choses, notamment : moderniser un vieil escalier !
C’est cette dernière partie que je vais décrire ici car durant mes recherches préliminaires, j’ai trouvé peu de retours d’expérience sur Internet. Grâce à quelques astuces, tout s’est plutôt bien passé, j’ai donc trouvé opportun de les partager.
Pour chauffer écologiquement et gratuitement sa piscine, mon beau-frère a fabriqué un chauffe-eau solaire. Il est composé d’une cinquantaine de mètres de tuyau d’arrosage, peint de couleur sombre, enfermé dans un coffrage en bois surmonté d’une vitre de Plexiglass :
Il reste ensuite à faire circuler de l’eau à l’intérieur. Pour cela, il a acheté une pompe 12V :
L’objectif est d’alimenter cette pompe grâce à un panneau solaire, sans batterie tampon. En effet, la pompe ne doit tourner que lorsque le Soleil est présent : aucun stockage d’énergie n’est donc nécessaire.
Le but est de récupérer à tout instant le maximum de puissance du panneau photovoltaïque pour l’envoyer dans la pompe. Elle tournera alors à plein régime dans des conditions d’ensoleillement optimales et verra sa vitesse réduite lorsque le Soleil se montrera moins.
Je vais expliquer ci-dessous pourquoi ce comportement n’est en réalité pas si facile à obtenir. En particulier, il faut oublier l’idée de connecter directement la pompe au panneau…
Depuis plusieurs années, l’invasion du moustique tigre ne cesse de se répandre en France. Par endroit, l’invasion est telle qu’il est carrément impossible de profiter de son jardin.
L’année dernière, mes parents ont voulu s’équiper d’un anti-moustique efficace. Il en existe à tous les prix et notre choix s’est porté sur le modèle Mosquitaire de Biogent. Nous ne savions pas vraiment à quoi nous attendre et quelle allait être sa véritable efficacité (il est toujours difficile de connaître l’objectivité des avis postés sur Internet). D’autant que le produit coûte quand même 165€ !
Après déballage, ce prix paraît peu justifié à l’égard de sa grande simplicité. J’ai donc eu l’idée d’en fabriquer une contrefaçon un clone afin de mieux couvrir le jardin grâce à un second exemplaire. Cerise sur le gâteau, puisque nous possédons également l’original, il sera très simple de comparer l’efficacité des deux !
Spoiler : la copie fonctionne aussi bien que l’original 😉
Je vais dans un premier temps décrire le fonctionnement du produit original. Dans un second temps, j’expliquerai pas-à-pas comment fabriquer une copie.
Dans la partie précédente, j’ai décrit comment réinjecter la connexion Internet prêtée par un voisin sympa dans son propre réseau local. Le but était de rétablir la connectivité au niveau du LAN lui-même, sans avoir à reconfigurer tous les équipements pour qu’ils utilisent le réseau du voisin.
C’est bien, mais je n’ai toujours pas accès au serveur, y compris depuis l’intérieur du réseau local : mon nom de domaine pointe toujours vers l’IP publique de la box, qui est inaccessible. Les services qu’il héberge ne sont donc plus disponibles et je m’en sers pourtant régulièrement, en particulier :
Depuis quelque jours, je subis une panne de connexion Internet : pour une raison que j’ignore encore, je n’ai plus de signal optique sur la fibre qui arrive dans mon appartement.
Un généreux voisin m’a alors proposé de me laisser un accès à son réseau Wi-Fi « invité » pour me dépanner. Mon fournisseur d’accès ne pouvant pas envoyer un technicien avant une semaine, c’est avec plaisir que j’ai accepté l’offre.
Dans mon dernier article, j’ai décrit la réalisation de mon cadre photo numérique. J’en suis ravi, mais pour en profiter pleinement, je dois le garder à jour : pendant trop longtemps, j’ai vu défiler des images dont les plus récentes dataient de plusieurs mois voire des années. Mais sélectionner les meilleurs clichés parmi des milliers est une tâche suffisamment décourageante pour la remettre à toujours plus tard, surtout lorsque les moyens pour le faire ne sont pas très ergonomiques.
Lorsqu’un technicien Enedis est venu remplacer mon compteur électronique non communicant de marque Itron par un Linky, je lui ai gentiment demandé si je pouvais le conserver, étant donné qu’il allait partir à la poubelle au recyclage. Un peu surpris par ma demande, il m’a toutefois répondu par l’affirmative. En effet, il est toujours utile d’avoir un compteur de consommation électrique comme appareil de mesure et j’imagine que celui-ci est d’assez bonne qualité. De plus, j’étais curieux de connaître sa conception interne.
Par conviction écologique et parce que cela est bénéfique pour la santé, j’essaie de moins chauffer mon appartement et en particulier les chambres. Cependant, l’entrée dans un lit froid n’est pas très agréable. J’ai donc décidé d’acheter un chauffe-matelas pour Noël, et j’ai été étonné par sa conception. C’est la raison pour laquelle j’ai voulu en parler ici.